Pushkar (Rajasthan) – 15 000 habitants
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Kelwara - Pushkar - 238 km - 5h30
L’ambiance est à peu près la même. Beaucoup de touristes cette année car nous sommes en pleine saison. Mais plutôt des backpackers, alors ca va. Quoiqu’on tombe parfois dans l’excès inverse ! et je croise nombre de hippies ayant oubliés que la vie continuait ailleurs, ou bien fuyant le monde qui va trop vite alors qu’à Pushkar il va au rythme des « special lassi » ... ?
Bref, après avoir erré dans les villages alentours eux-mêmes perdus dans le désert local, je me dirige droit vers la guesthouse habituelle, le gérant me reconnaît. On s’améliore, il y a l’eau chaude dans les douches ! Puis direction mon « café de la gare » local : Chez Baba, pour passer une fin d’après-midi repos, bouquinage, yam, journal. Natacha (l’un des couchsurfeuses que j’avais retrouvé l’an dernier) n’est pas là alors sa place est libre : près des prises électriques (les habitués comprendront), face au soleil, vue sur la place centrale, le lac et les montagnes au fond du paysage carte postale.
Puis massage pour me remettre de ma course de la veille, dodo. Petite parenthèse pour le massage, car c’était l’un de mes meilleurs à ce jour. Le gars avait une poigne d’enfer et m’a très bien relaxé. Pour éviter les risques que l’on rencontre en Thaïlande, en Inde c’est clair dès le début : les gars sont massés par des gars, les filles sont massés par des filles.
Le Lendemain, programme
très chargé … ayant déjà visité la ville, je me pose chez Baba … pour en
repartir seulement le soir après avoir trié des photos, chatté, rédigé mes
aventures puis dodo. J’aime bien ces journées !
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Ah Pushkar,
tellement de bons souvenirs y sont attachés. C’est ici que j’avais passe ma
première semaine en Inde en mai 2011. Fuyant Hanoi j’étais venu ici pour une
semaine retrouver deux couchsurfeuses que j’avais hébergées quelques semaines
plus tôt à Hanoi. C’est donc naturellement que je reviens ici retrouver mes
premières impressions indiennes. Qui avaient été très excellentes !
L’ambiance est à peu près la même. Beaucoup de touristes cette année car nous sommes en pleine saison. Mais plutôt des backpackers, alors ca va. Quoiqu’on tombe parfois dans l’excès inverse ! et je croise nombre de hippies ayant oubliés que la vie continuait ailleurs, ou bien fuyant le monde qui va trop vite alors qu’à Pushkar il va au rythme des « special lassi » ... ?
Bref, après avoir erré dans les villages alentours eux-mêmes perdus dans le désert local, je me dirige droit vers la guesthouse habituelle, le gérant me reconnaît. On s’améliore, il y a l’eau chaude dans les douches ! Puis direction mon « café de la gare » local : Chez Baba, pour passer une fin d’après-midi repos, bouquinage, yam, journal. Natacha (l’un des couchsurfeuses que j’avais retrouvé l’an dernier) n’est pas là alors sa place est libre : près des prises électriques (les habitués comprendront), face au soleil, vue sur la place centrale, le lac et les montagnes au fond du paysage carte postale.
Puis massage pour me remettre de ma course de la veille, dodo. Petite parenthèse pour le massage, car c’était l’un de mes meilleurs à ce jour. Le gars avait une poigne d’enfer et m’a très bien relaxé. Pour éviter les risques que l’on rencontre en Thaïlande, en Inde c’est clair dès le début : les gars sont massés par des gars, les filles sont massés par des filles.
Petit déjeuner Benetton jus de mangue, café au lait, lassi |
Parlons un peu de
Pushkar. Ville ultra sacrée. Ghandi a fait jeter ses cendres dans le lac,
beaucoup de ghâts le cerclent (rappel : un ghât est une descente en
escalier vers le lac d’où les gens vont faire leurs ablutions, toilettes,
lessives etc… fermez les yeux et imaginez une carte postale de l’Inde.
Les bâtiments sont à droite, puis le fleuve ou lac à gauche, entre les deux, les marches. Voilà c’est ça un ghât. Ouvrez les yeux). Chaque soir, des cérémonies de prière ont lieu sur ces ghâts, chaque jour, des pèlerins vont faire une prière dirigée par un prêtre local, tandis que des touristes vont faire la même chose (mais la donation est en Euros ou Dollars pour les touristes, et bien plus élevée… je le sais car je me suis fait maudire l’an dernier parce que je ne voulais pas donner autant … oups !).
Les bâtiments sont à droite, puis le fleuve ou lac à gauche, entre les deux, les marches. Voilà c’est ça un ghât. Ouvrez les yeux). Chaque soir, des cérémonies de prière ont lieu sur ces ghâts, chaque jour, des pèlerins vont faire une prière dirigée par un prêtre local, tandis que des touristes vont faire la même chose (mais la donation est en Euros ou Dollars pour les touristes, et bien plus élevée… je le sais car je me suis fait maudire l’an dernier parce que je ne voulais pas donner autant … oups !).
Pushkar abrite
aussi le seul temple dédié à Brahma de toute l’Inde. L’histoire liée est
passionnante, et je ne suis pas assez spécialiste pour la présenter ici. Wikipedia
le fera bien mieux que moi. Enfin attention, le centre ville bordant le lac est
le territoire des touristes étrangers, mais la ville est bien plus grande que
cela. Encore une fois le tourisme a modifie la façon dont on perçoit la ville.
Direction Delhi
pour rendre la moto. Snif … Puis ce sera Mumbai et la chaleur (pour de vrai
cette fois !).
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